Cette rentrée est particulière à plus d’un titre : elle est à la fois la dernière du quinquennat et se fait, encore une fois, dans le contexte particulier de la pandémie de Covid-19.
Elle est d’abord le parfait reflet des choix politiques opérés par le gouvernement et portés par le ministre de l’Éducation nationale : un sous-investissement dans le service public d’éducation (insuffisance des créations d’emplois dans le 1er degré, sous-effectifs permanents dans les métiers administratifs, techniques, de santé et sociaux, suppressions d’emplois dans le 2d degré…) (…)